La vision et le regard

N’attendons pas qu’une légion de spécialistes nous disent ce qu’il convient de faire pour gagner cette guerre contre le présent. Le mouvement sportif fédéral dans son ensemble peut être une véritable arme de construction massive. C’est à lui de se construire un marché que personne ne pourra privatiser puisque personne d’autre que lui ne pourra le solvabiliser. Le plaisir s’achète, mais pas le bonheur. L’un se privatise pour commercialiser la dopamine, l’autre se réalise pour partager de la sérotonine. Ce qui demain sera le plus cher au monde, sera gratuit. Au mouvement sportif de mettre la main sur ce destin qui lui tend les bras. Au mouvement sportif de se construire un regard innovant reposant sur une vision disruptive.